L’après-balade

CONTEXTE :
Il n’est pas rare que nous ayons quantité de matière qui ne peut être exploité pendant la balade mais qui permettrait à tel ou tel d’en tirer pourtant un meilleur parti.

QUELQUES PRATIQUES :
Le web peut constituer par le biais d’un blog de la balade ou d’un site communiqué à l’issue de la balade un moyen d’enrichir les perceptions du parcours et son contenu pour ceux qui le désire.

• Les traces :
  • tracé GPS qui permet de refaire la balade avec des proches avec les noms de rues et de lieux ; ce tracé peut contenir des photos qui permettent aux malvoyants de profiter avec leur écran et leur possibilité d’agrandissement des photos.
    • Exemple [GDIE]  : les difficultés de vision d’un participant l’empêchait de profiter des belles couleurs de l’automne du parc Kellermann ce qui le remplissait de nostalgie. Comme il avait été question quelques instants plus tôt de l’utilisation qu’il faisait de l’informatique, l’idée est venue de faire quelques photos qui lui permettraient peut-être de se faire une idée des couleurs du parc. Envoyées par mail, il nous a confirmé par retour que le procédé avait été efficace.
    • Exemple [VOLUMES URBAINS] : la photo nous a rendu les mêmes services pour rendre accessible des graphes du quartier de la Butte-aux-Cailles que leur hauteur et leur exposition rendait difficiles à observer et pour montrer des ateliers de la manufacture des Gobelins dont les grandes cuves inox étaient visibles par une fenêtre ouverte mais beaucoup trop haute pour certains participants
  • documents, textes, vidéo, traduction LSF qui n’auraient pu être lus pendant la balade mais qui peuvent a posteriori en enrichir le contenu